publié le 13/10/2022 à 13h20
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Comme nous vous l'indiquions mercredi (voir article ici), le Paris Saint-Germain a mis en place une "armée numérique" entre 2018 et 2020 pour critiquer les organes de presse et personnes jugés hostiles, mais aussi pour piquer certains actuels ou ex-membres du club de la capitale, à l'image de Kylian Mbappé. Des révélations de Médiapart peu étonnantes pour Daniel Riolo.
"Là, c’est l’utilisation des réseaux sociaux à des fins... Il faudrait savoir si c’est légal ou pas légal. En tout cas, je trouve que c’est à la frontière de la dégueulasserie, selon moi, vraiment. (...) Cela pose clairement la question de la compétence et de ce que fait cette direction qui est au club depuis plus de dix ans maintenant. Au lieu de s’occuper de ce que doit faire l’équipe sur le terrain, de comment on doit recruter, de comment on doit monter une équipe, c’est chaque jour une nouvelle affaire. C’est chaque jour une image de plus en plus négative", a déploré le journaliste sur RMC.
"A force de vouloir contrôler leur image, à force de tout vouloir contrôler et de vouloir développer une sorte de stratégie marketing et communication mondiale, on a l’impression que chaque semaine, ils creusent un trou dans lequel ils s’enfoncent. Aujourd’hui, le club va se déchirer sur qui était à la tête de cette cellule. On va tout mettre sur le dos de Jean-Martial Ribes, directeur de la com' qui a quitté le club. Le club va évidemment l’accuser. Lui va probablement se défendre en disant qu’il était couvert, forcément, par sa direction. Franchement, cela fiche la nausée. Cela fiche la nausée sur ce qu’est devenu ce club. Vraiment", a rajouté Riolo.
Pour rappel, l'éditorialiste, dont le compte Twitter est suspendu depuis des semaines, a accusé à de nombreuses reprises l'attitude de ces "trolls".ARCHIVES DES BREVES | |
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