publié le 19/02/2019 à 11h32
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Depuis son arrivée sur le banc de l'Olympique Lyonnais en 2015, Bruno Genesio n'est pas épargné par les critiques, même de la part de ses propres supporters. Dans un entretien accordé à So Foot, le coach lyonnais évoque cet acharnement de ses détracteurs, qui lui ont notamment donné le surnom ironique de "Pep", en référence à Pep Guardiola.
"Ce n'est pas ce que j'ai le plus mal vécu, ça me faisait même plutôt marrer. Il y en a d'autres qui me font moins rire, comme des attaques que je juge infondées, sur lesquelles aucun argument ne repose (sic). J'ai l'impression qu'en France, on aime bien coller des étiquettes aux gens, quels qu'ils soient. Moi, je suis l'entraîneur gentil qui n'a pas de principes de jeu, qui a réussi les six premiers mois, seulement parce que je suis copain avec les joueurs. (...) Ça fait partie de notre métier de ramasser quand ça va mal, mais, moi, je ramasse même quand ça va bien. (Sourire.) Les critiques font partie de notre métier. Je les accepte. Je sais que parfois je n'ai pas fait les bons choix... Quel entraîneur ne fait que des bons choix ?", s'interroge Genesio.
Ce mardi (21h), contre le FC Barcelone en 8e de finale aller de la Ligue des Champions, le coach lyonnais a l'occasion de prouver, comme face à Manchester City (2-1, 2-2), qu'il sait faire les bons choix.ARCHIVES DES BREVES | |
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