publié le 01/07/2018 à 21h41
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En limogeant le sélectionneur Julen Lopetegui pour le remplacer par Fernando Hierro à 48 heures de l’entrée en lice à la Coupe du monde 2018, le président de la Fédération espagnole Luis Rubiales avait pris une décision sacrément culottée le 13 juin dernier. Avec l’élimination de la Roja dès les 8es de finale de la compétition ce dimanche contre la Russie (1-1, 3-4 tab), le dirigeant peut s'attendre à un sacré retour de flamme, mais celui-ci assume.
"À aucun moment je ne regrette cette décision, car ce sont des décisions prises avec responsabilité, conviction et valeurs, et ce n'était pas une décision sportive, a rappelé Rubiales à la chaîne espagnole Telecinco. Aujourd'hui, il y a de la douleur et c'est une situation très difficile d'être éliminés, mais il faut aller de l'avant."
Pour rappel, le dirigeant s’était senti trahi par Lopetegui qui avait signé au Real Madrid pour la saison prochaine sans l’avertir au préalable.ARCHIVES DES BREVES | |
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