publié le 16/11/2015 à 15h35
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Présent au Stade de France vendredi dernier lors de France-Allemagne (2-0), le président du FC Nantes, Waldemar Kita, n’avait pas compris immédiatement que les détonations entendues en première période correspondaient à des attaques terroristes. Le dirigeant nantais a été informé du danger seulement à la pause.
"Après plusieurs minutes de jeu, nous avons entendu une forte explosion. Certains pensaient que des supporters avaient lancé des pétards, mais j’ai dit que c’était impossible. (…) Pendant la pause, j’ai parlé avec le secrétaire des Sports Thierry Braillard, qui a admis qu’il y avait des problèmes. (…) Il y avait une très grande panique, surtout quand les nouvelles sont arrivées sur le nombre croissant de victimes", raconte Kita dans les colonnes de Przeglad Sportowy.
Le bilan provisoire de cette tragédie est de 129 morts et 352 blessés.ARCHIVES DES BREVES | |
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